Le jeu du Je
N'oubliez pas de cliquer sur le bouton "lecture"...
Jeudi 11 mars 2010
Avant d'envisager une épilation, je souhaiterai que tu te rases les parties génitales. Et bien sur, petites photos pour me
montrer a quoi tu ressembles après.
Je veux avoir un accès visuel sur toutes tes parties ... a ta charge de trouver comment faire pour me présenter ta petite rondelle toute lisse.
Comment décrire l’état dans lequel m’a mis la lecture de cet ordre, le premier devant avoir une conséquence sur mon corps, son aspect ?
Obéir à cet ordre me prendra du temps, temps pour intérioriser davantage ma soumission, chaque geste accompli n’étant justifié que par cette soumission.
Accepter cet ordre c’est rendre encore plus explicite le fait qu’Elle a en particulier le contrôle de mon intimité et aussi celui de mon apparence.
Oui je l’accepte, bien sur que je l’accepte mais d’où me vient ce trouble ?
Je ressens aussi comme raison à ce trouble l’abandon, les défenses qu’on abaisse pour s’offrir.
Le trouble du sacrifice aussi…
J’ai reçu cet ordre hier et depuis je vis un phénomène étrange. Depuis je songe à ces poils, cette partie de moi qui doit disparaître et j’ai alors l’impression de sentir sa main toucher mon sexe en propriétaire.
Assis c’est mon derrière, mon cul que je sens comme prêt à s’offrir comme si Elle était là.
Bien qu’ayant dans un lointain passé expérimenté l’épilation de mes parties intimes je ne sais pas encore comment je vais procéder exactement pour ce rasage et c’est mieux ainsi, en ayant oublié en grande partie mon expérience lointaine je suis en quelque sorte de nouveau vierge et mon action n’en aura que plus de valeur.
Je regarde sa photo et je songe qu’elle attend de pouvoir disposer de mon intimité sans défense, entièrement exposée aux yeux, entre autres.
Ce sera sans doute demain que je passerai à l’acte, demain que mon apparence changera selon ses désirs et que ma soumission trouvera une première matérialisation.
J’aime m’offrir à Elle et je suis empli aussi d’un doux sentiment à l’idée qu’Elle me donne la possibilité de lui faire cette offrande et fasse de moi sa chose.