Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 04:07
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Etrange histoire, trop lointaine pour que je m’en souvienne des détails mais aussi trop forte pour l’avoir oubliée.

 

Je connaissais depuis peu ma séropositivité au VIH et étais encore avec Marlène.

 

J’aimais vraiment Marlène, follement même, et pourtant cette histoire a bien eu lieu.

 

Pourquoi, pourquoi alors que j’avais déjà une petite amie que j’aimais et avec qui je me voyais pouvoir vivre bien des choses suis-je parti à la recherche d’autre chose ?

 

Avais-je alors déjà connu le trouble du travestissement en cachette avec les effets de Laura ou bien cet épisode l’a-t-il précédé ?

 

C’était du temps du minitel et visiblement être avec Marlène ne m’avait pas empêché d’aller sur des sites à connotation BDSM.

 

Je ne sais plus si je suis allé sur ces sites pour réaliser un fantasme précis que je ne pensais pas pouvoir vivre avec Marlène, par simple désoeuvrement ou bien guidé par mes pulsions, par ma queue.

 

En des années de minitel je n’ai rencontré physiquement que quelques femmes vénales ou des hommes, cette rencontre était peut-être l’exception, en tout cas c’est ainsi que je l’ai vécue : cette fois je devais rencontrer un couple.

 

Que devais-je faire avec ce couple, quel était le « programme » ?

 

trans 001(2)Ce « couple » dont je n’aurais vu que la partie masculine (mais j’y ai cru, c’est ici ce qui compte) m’avait proposé de devenir sa « soubrette ».

 

Il ne s’agissait pas d’une rencontre d’un soir, non il s’agissait d’un projet de relation au cours de laquelle j’aurais été progressivement féminisé et utilisé comme « soubrette » mais aussi comme esclave sexuelle au féminin.

 

 

Je n’arrive pas à me souvenir avoir été tenté de quitter Marlène que j’aimais, comment donc ai-je pu non seulement aller sur ces sites mais aussi répondre positivement à ce « couple » sachant que ce qu’il me proposait semblait difficile à cacher longtemps à ma bien-aimée?

 

J’ai répondu positivement, extrêmement troublé par ce qui m’était proposé.

 

L’homme était bien au rendez-vous au pont de Levallois et une fois dans sa voiture il sortit ou me fit sortir mon membre qu’il, je crois, toucha en propriétaire.

 

Arrivé dans le grand appartement je du me déshabiller pour enfiler une jupe courte et des escarpins hauts qui me troublèrent profondément. Le trouble s’augmenta quand je fus de plus « habillé » d’un envoûtant parfum.

 

J’étais là pour devenir femelle, devenir une femme objet de plaisir et je me suis senti complètement à ma place dans ce rôle, jamais je n’avais ressenti un tel degré d’excitation.

 

Je ne devais pas que me transformer en femme, je devais aussi me transformer en esclave sexuelle, apprendre à me soumettre et aussi à exciter en femelle.

 

J’étais troublé par la féminisation, j’étais troublé d’être transformé en objet de désirs, j’étais troublé d’être humilié.

 

Le temps que je suis resté dans cet appartement je l’ai passé à quatre pattes, mais pas tout à fait n’importe comment : il m’avait attaché avec une corde en laissant du jeu, je crois les genoux, de telle sorte que ma façon d’avancer s’en trouvait contrainte. A vrai dire je remuais les hanches en avançant à quatre pattes et quand libéré je me retrouva seul dans la rue je fus étonné de constater que je marchais alors malgré moi en roulant des fesses. Dans la rue je marchais remuant mon cul et en dégageant un parfum de femme.

 

 

Peut-être le fait que ce court temps passé dans cet appartement ai suffit à afficher malgré moi une gestuelle fortement féminine dans la rue a joué dans la non-poursuite de la relation mais j’ai le souvenir net de deux autres moments importants qui m’ont fait renoncer à aller plus loin.

 

Je ne lui avais pas parlé de ma séropositivité (j’avais préféré croire qu’il n’y aurait que des rapports protégés) or il aborda la question des rapports sexuels non protégés en m’expliquant que je devrais au préalable passer un test HIV. Seule Marlène était au courant de ma sérologie et je tremblais à l’époque à l’idée de devoir la révéler à d’autres personnes. Je ne pouvais pas poursuivre.

 

Il m’amena à parler de Marlène et me fit comprendre que je devrai lui parler d’eux et les leur présenter. Là j’eu un choc, j’ai réalisé à quel point j’aimais Marlène et que cette relation que j’avais envisagée avec ce couple était incompatible avec mon amour pour elle. Pour cette raison aussi je ne pouvais pas poursuivre. « Accessoirement » en cherchant à introduire Marlène dans cette relation particulière j’ai aussi ressenti de la part de cet homme une volonté de me forcer à aller peut-être au-delà de ce que j’étais capable de vivre sans dommage.

 

 

N’aurais-je pas été séropositif et amoureux de Marlène y aurait-il eu une suite ?

 

Même si je suis du genre à aller au bout de mes engagements (quoique là je ne m’étais pas encore engagé) je n’en suis pas certain, cette rencontre a été très intense, je pourrais dire de l’ordre du traumatisme tant elle m’a secoué et pendant des années je me la suis remémorée quand je cherchais un fantasme fort.

Cette rencontre m’a confrontée à la problématique des fantasmes qu’il pourrait être sage de ne point vivre.

 

Aurais-je été capable d’assumer les conséquences d’une telle relation, et puis avais-je vraiment une connaissance convenable de celles-ci ?

 

En particulier jusqu’à quel point aurais-je pu être féminisé sans que cela ne rejaillisse sur mon intégration sociale ? Aurais-je été capable à cette époque d’assumer une différence de cet ordre aux yeux de la société ?

 

En tous cas cette rencontre me secoua, confirma mon goût pour la féminisation, la soumission et l’humiliation tout en me faisant découvrir la puissance de certains passages à l’acte.

 

 

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : La d/s dans tous ses états
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Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 20:28
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Elle avait perdu l’usage de la parole suite à je ne sais plus quelle maladie.

Peu importe le nom de cette maladie, à l’époque toutefois celui-ci avait son importance car j’en avais entendu parlé comme d’une saleté contagieuse.

 

Je connaissais la cause de sa perte de parole mais ne savais pas si cette cause était ou pas toujours là.

 

Bernard_Charoy_4.jpgElle me plaisait, je lui plaisais manifestement, mais j’ai eu peur : ayant très probablement été contaminé par ce virus qui me rongeait via un type qui avait retiré la capote en catimini j’étais devenu méfiant et hésitais à faire confiance à ce sourire qui me charmait.

 

Elle m’aurait dit s’être débarrassée de cette maladie dont elle conservait des séquelles je me serais sûrement contenté de sa parole, mais elle ne me l’a pas dit et je ne lui ai jamais demandé.

 

Trop timide pour lui poser frontalement la question j’ai lâchement interrogé sur le sujet un de ses amis qui m’a comme il se doit rabroué.

 

Je maudis cette forme de timidité que je peux avoir et cette éducation qui m’interdit de poser des questionner quand ça peut déranger.

 

J’ai tout fait comme mon éducation m’a appris à le faire : je n’ai pas abordé le sujet avec elle.

A vrai dire je ne sais pas si mon éducation avait tout à fait ce sens là mais elle eu en tous cas pour résultat que je n’ai pas osé sortir du cadre des propos cosmétiques pour aborder un point essentiel.

 

Ah oui je l’ai ménagée, je l’ai même tellement bien ménagée cette fleur que je voyais régulièrement et toujours avec grand plaisir (aux réunions conviviales organisées par une célèbre association) que j’ai un jour appris qu’elle avait décidé de quitter cette vie en laquelle elle ne devait plus trop espérer.

 

Je me suis tu aussi devant sa mort bien que tourmenté par l’image triste d’une jeune fille seule ayant perdu tout espoir.

 

Aurais-je du passer outre ma peur liée à la façon dont j’avais été contaminé ou bien faire violence à ma timidité et m’enhardir pour l’occasion ?

 

Je crois que je l’aurais aimée.

Par Acetos - Publié dans : VIH : une vie à positiver - Communauté : Réalités
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Vendredi 12 mars 5 12 /03 /Mars 21:07

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Jeudi 11 mars 2010

 

Avant d'envisager une épilation, je souhaiterai que tu te rases les parties génitales. Et bien sur, petites photos pour me montrer a quoi tu ressembles après.
Je veux avoir un accès visuel sur toutes tes parties ... a ta charge de trouver comment faire pour me présenter ta petite rondelle toute lisse.

 

 

 

Comment décrire l’état dans lequel m’a mis la lecture de cet ordre, le premier devant avoir une conséquence sur mon corps, son aspect ?

 

Obéir à cet ordre me prendra du temps, temps pour intérioriser davantage ma soumission, chaque geste accompli n’étant justifié que par cette soumission.

 

Accepter cet ordre c’est rendre encore plus explicite le fait qu’Elle a en particulier le contrôle de mon intimité et aussi celui de mon apparence.

 

Oui je l’accepte, bien sur que je l’accepte mais d’où me vient ce trouble ?

 

Goth Lady 005 Je ressens aussi comme raison à ce trouble l’abandon, les défenses qu’on abaisse pour s’offrir.

 

Le trouble du sacrifice aussi…

 

J’ai reçu cet ordre hier et depuis je vis un phénomène étrange. Depuis je songe à ces poils, cette partie de moi qui doit disparaître et j’ai alors l’impression de sentir sa main toucher mon sexe en propriétaire.

Assis c’est mon derrière, mon cul que je sens comme prêt à s’offrir comme si Elle était là.

 

Bien qu’ayant dans un lointain passé expérimenté l’épilation de mes parties intimes je ne sais pas encore comment je vais procéder exactement pour ce rasage et c’est mieux ainsi, en ayant oublié en grande partie mon expérience lointaine je suis en quelque sorte de nouveau vierge et mon action n’en aura que plus de valeur.

 

Je regarde sa photo et je songe qu’elle attend de pouvoir disposer de mon intimité sans défense, entièrement exposée aux yeux, entre autres.

 

Ce sera sans doute demain que je passerai à l’acte, demain que mon apparence changera selon ses désirs et que ma soumission trouvera une première matérialisation.

 

J’aime m’offrir à Elle et je suis empli aussi d’un doux sentiment à l’idée qu’Elle me donne la possibilité de lui faire cette offrande et fasse de moi sa chose.

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : Domination et amour...
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Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 03:40
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Fantasme de féminisation…

 

Pendant longtemps ce fantasme me hanta et il semblerait dater de mes débuts de mon intérêt pour le BDSM.

 

Encore une fois les souvenirs remontent à la surface au fur et à mesure que les mots sont posés.

 

J’ai pendant quelques mois partagé un studio avec une amie. Notre relation était particulière en ce sens qu’elle m’attirait énormément et que je m’étais promis de surmonter cette attirance pour lui offrir une amitié sans sexe. Est-ce suite à une diminution de mes résolutions à son égard ? Peut-être, peut-être pas, mais je me souviens que j’étais terriblement troublé par la proximité de son intimité, par toutes ces petites choses qui encombraient notre studio et qui me la rappelaient en son absence.

Je ne sais plus comment cela a commencé, mais je sais avoir à un moment donné jeté mon dévolu sur ses petites culottes, y avoir plongé mon nez pour m’enivrer de son odeur intime.

Non je ne sais plus comment tout ceci s’est organisé mais je sais avoir profité de certaines de ses absences pour enfiler certaines de ses affaires.

Elle était bien plus petite que moi, ce ne fut pas forcément facile. J’ai presque tout oublié mais je me souviens avoir enfilé des petites culottes d’où mon sexe ressortait forcément ridicule. J’ai presque tout oublié mais me revois enfiler des Dim up que j’ai du abîmer.

Il se peut que j’ai tenté aussi ma chance avec une jupe, par contre je doute avoir pu trouver un haut à enfiler (un pull large ??).

J’étais très troublé par une paire d’escarpins à talons assez hauts, là je n’ai pas oublié : je les ai stupidement forcés pour y introduire mes pieds, je n’ai pas pu résister.

Je n’ai pas non plus oublié qu’elle me fit ensuite une remarque sur ces escarpins qui s’étaient subitement élargis… Je n’ai rien su répondre je suppose et si elle se douta peut-être de quelque chose elle ne tortura pas de questions.

 

Est-ce avant ou après cet épisode qu’elle s’intéressa à l’histoire de Maud Marin ?  Il m’apparaît aujourd’hui peu probable qu’elle n’ait pas parfaitement compris le pourquoi de la déformation de ses chaussures.

 

Je ne sais plus si j’ai poussé jusqu’à utiliser sa trousse de maquillage mais je me souviens avoir alors fortement fantasmé sur le fait qu’elle me maquille, que je lui livre mon visage et qu’elle me guide vers la féminité, vers elle peut-être.

 

 

Le temps efface bien des souvenirs, remonte à l’instant celui du petit Acetos « empruntant » les bas de sa maman détestée pour se faire de belles jambes… J’ignore si c’était avant ou après cette histoire avec mon amie co-locatrice, probablement avant, étais-je alors jeune adulte ou encore adolescent ? J’ai l’impression que ma mère qui remarquait, surveillait tout, m’avait fait une remarque qui m’avait passé l’envie de recommencer, mais ma mère faisant toujours des remarques j’ai peut-être inventé ce souvenir.

 

Me suis-je déjà maquillé ? C’est très possible mais j’en ai alors perdu le souvenir.

 

Je crois qu’au travers de la féminisation je recherchais un moyen de me rapprocher de ce sexe qui m’attirait terriblement et demeurait plein de mystères pour moi, un sexe dont une partie de l’attrait provenait peut-être de cette magie sans doute en grande partie liée à ma grande ignorance d’homme n’ayant pas pu approcher l’autre sexe durant son adolescence.

 

 

Et si ce fantasme de féminisation se trouvait finalement constituer l’origine de mon attrait pour le BDSM ?

 

Et si tout ceci avait commencé par le fantasme de me faire féminiser par une femme, puis de me soumettre à la féminisation effectuée par une femme, puis de me soumettre à une femmes qui me féminiserait, puis de me soumettre à une femme tout court étant entendu que tout ce qu’elle me ferait découvrir, m’imposerait, me rapprocherait du mystère de son sexe et d’elle-même ?

 

Voilà pas mal de temps que je recherche les racines de mon goût pour le BDSM, dont la soumission, ai-je enfin (re)trouvée la réponse ?

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : Réalités
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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 23:58
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Voilà plusieurs jours que je ne me suis pas masturbé.

J’ai déjà été sur des sites X pour m’exciter mais j’ai décroché, de même que j’ai décroché en lisant des récits supposés réels sur la domination féminine (je n’accroche plus aux fictions érotiques, il me faut savoir ou croire à la réalité des mots).

 

Je savais que le 6 janvier ne serait de toutes façons pas aussitôt suivi par une entrée rapide en soumission, je savais que si de cette rencontre devait accoucher une relation celle-ci n’aurait pas lieu de suite et que je devrais connaître une période d’attente plus ou moins longue, plus ou moins intense.

 

Dans l’attente d’une possible relation où j’appartiendrais enfin à quelqu’un j’ai eu il y a environ 15 jours des échanges avec Douce Amie, échanges au cours desquels je lui ai donné le lien déjà évoqué sur la domination féminine, article écrit pour celles qui s’interrogent sur ce type de relations.

http://www.lantredudiable.eu/accueil/securite/part10/archives/dominationfeminine.htm

 

Je ne sais si c’est suite à la lecture de cet article mais elle m’a donné ensuite quelques instructions. Je sais que je ne vivrai jamais une vraie relation avec Douce Amie, que celle-ci ne sera jamais que virtuelle, voir avec de rarissimes rencontres, dans ce contexte me soumettre à elle à distance, même si on se verra peut-être de façon exceptionnelle, me semble compatible avec la relation réelle que j’espère pouvoir vivre.

 

Parmi ces instructions qu’elle m’a données il y a eu en particulier celle de jouer avec mon trou en imaginant que c’est le sien que j’honore. J’ai joué ainsi mon cul pendant quelques jours, jours pendant lesquels j’avais de brefs contacts avec elle, contacts qui maintenaient son emprise et ma confiance, ma foi en elle.

 

Et puis plus de nouvelles du tout…

 

Devais-je alors continuer à me travailler l’anus en hommage au sien, en pensant à elle ?

 

Sans la motivation de lui offrir mon acte celui-ci me semblait vide de sens quand bien même j’ai connu un certain plaisir sur le plan anal (j’ai eu beau vouloir penser à son cul j’ai ressenti quelque chose).

 

 

Même si je suis terriblement dans l’espoir de pouvoir être pris en main par celle que je sais être capable de suivre en confiance elle n’a pas que moi à penser et même si mon esprit est déjà prêt à la suivre, même si elle sait déjà pouvoir me donner des ordres, la relation n’a pas encore débuté. Et puis surtout introduira-t-elle des éléments qui m’aideront à canaliser ma pensée, des éléments qui m’aideront à gérer la rubrique « désirs et plaisirs sexuels » et si oui quand ?

 

Je me sens actuellement comme un pantin sans marionnettiste, pantin qui redoute de paraître trop attendre.

 

J’ai envie de me donner du plaisir en ce moment mais ne parviens pas à le faire car ne me sentant bizarrement déjà plus maître de ma jouissance.

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : Domination et amour...
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