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Nuit du samedi 12 au dimanche 13 septembre 2009
Que pouvait-il arriver suite à cela ?
Je me sentais complètement anéantis, complètement soumis à elle.
Je l’ai suivie quand elle changea d’endroit pour se positionner en haut de quelques marches larges faisant en quelque sorte office de tribunes.
Je l’ai suivie et suis resté prostré à ses pieds, patient, espérant un je ne sais quoi d’elle.
Quand des hordes de soumis, souminateurs et je ne sais quoi d’autres se pressaient près d’elle je demeurais tout en bas, la regardant avec adoration et reconnaissance.
Elle me jetait de temps en temps des coups d’œil et j’avais le sentiment puissant qu’elle m’avait distingué.
Elle me promis de m’infliger le supplice du paddle plus tard dans la soirée et quand elle se leva pour aller visiter l’autre salle adjacente tenant lieu de piste de danse m’ordonna de lui lécher le talon, chose que je m’empressa de faire, trop heureux de lui manifester ainsi ma soumission, trop heureux aussi de l’exhiber à un photographe qui garderait la trace de ce moment.
Je devais la retrouver plus tard sur ces gradins qu’elle venait de quitter pour cette torture promise, j’en profita pour boire un verre et me soulager aux toilettes.
J’en profita également pour assister dans les vestiaires à un spectacle de « ball bursting » qui fut pour moi décevant, les protagonistes semblant prendre les choses à la rigolade dans rien laisser transparaître dans leur comportement de réelles attitudes de soumission ou de domination. Je me souviens pourtant que la « dominatrice » était une fort jolie blonde ayant bravé le trop peu redouté « dress code » en s’exhibant dans une jupe rayée bleu et blanc.
Peut-être aurais-je aimé m’occuper un peu d’elle pour lui apprendre les bonnes manières vestimentaires et la punir d’être si mollement dominante.
Je fini par m’inquiéter de ce que ma cruelle complice puisse être à ma recherche et redescendis, visitant la première salle avant de la retrouver dans celle de la piste de danse, bien évidemment entourée d’adorateurs.
Elle sembla ravie de me revoir, nous étions ravis de nous retrouver.
Promesse me fut donnée de m’infliger le paddle quand son verre serait fini.
Le liquide descendit bien lentement, une lenteur supplicielle (si jamais parmi mes 2-3 lecteurs occasionnels figure un académicien merci à celui-ci de défendre l’entrée de ce néologisme dans le dictionnaire d’une langue mourante).
Impatient et inquiet, redoutant d’être oublié, je demeurais devant elle tentant de me trémousser en rythme : je ne fis qu’un mou surplace.
Un grand espoir m’empli quand je la vis finir son verre en vitesse : je cru alors cela du à une envie subite de s’occuper de moi, j’étais encore en mode optimiste.
Un souminateur, celui-là même qui habillé en policier était avec elle quand je l’ai vu se changer, l’entraîna non pas vers les gradins comme initialement prévu, mais vers le vestiaire où tout avait commencé par un timide compliment et un regard admiratif.
Allongé par terre il ouvrit la bouche sous l’intimité de ma cruelle, il ouvrit la bouche et je devina ce qui allait arriver et arriva : il recueilli et bu l’urine de la belle.
Je regardais avec un sentiment de jalousie mais aussi d’appréhension : serais-je capable de vivre cela ? Y étais-je déjà prêt ?
Je ne me posa pas la question éternellement, elle me demanda de m’allonger également pour subir le même traitement. Je fus alors terriblement fier d’en avoir été jugé digne et m’exécuta, anxieux de savoir si j’allais pouvoir obéir sans manifester de dégoût.
Ce fut d’abord l’occasion de jouir de la vue de sa belle fente épilée, fente que je vénérais sans pouvoir la toucher.
Le liquide tant redouté fini par arriver dans ma bouche soumise, offerte, et je fus agréablement surpris de sa douceur alors que je regrettais un goût plutôt amer et fort prononcé.
Ma bouche remplie elle arrêta pour revenir à son policier, j’entrepris de garder encore un peu son « champagne » avant de le boire doucement, lentement.
Un souminateur du genre chien dominant insista pour qu’elle s’occupe aussi de lui et obtint sa part liquide.
Très capable dans l’art d’insister il obtint ensuite les coups de paddle qui m’étaient destinés (tient je fais mon jaloux).
Ainsi que je m’en doutais elle frappait fort, sans concession. Je le connaissais pour être particulièrement endurant et il endura effectivement, même si à la fin elle parvins à le faire gémir de douleur.
Allongé à côté je voyais l’instrument attaquer les fesses durement et chaque coup me faisait souffrir bien que ne m’étant pas destiné, je souffrais sans doute chaque coup de la sorte car m’imaginant subir le même traitement peu après.
Peu après…
Elle nous annonça sa grande fatigue et, alors que les souminateurs s’efforçaient de la convaincre de continuer de s’occuper d’eux je compatissais à son état.
Nous discutâmes quand même un peu, trop peu.
Nous nous découvrîmes des centres d’intérêt communs, pour les cimetières, pour Rodin,…
C’est elle qui voulu me donner son adresse électronique sur un morceau de papier récupéré sur une table, les autres durent lui quémander cette même adresse.
Je pris religieusement son adresse, la remerciant : elle se prénommait Angela ma cruelle new-yorkaise.
Je demanda également celle de François le policier qui s’était révélé être notre photographe, il me la donna avec moins d’empressement que la belle (je voulais quand même avoir des photos de ces moments privilégiés).
Ce papier si précieux avait disparu de la poche de mon pantalon en cuir quand au petit matin je rejoignis enfin mon domicile.
J’ai cru avoir retrouvé son adresse via un moteur de recherche et me suis alors empressé de lui écrire à une heure avancé de la matinée, retardant ainsi mon coucher. Ai-je écris à la bonne personne ? M’a-t-elle lu ? Est-ce elle qui tenta de me joindre par téléphone en début d’après-midi ?
Aurais-je un jour réponse à ces questions ?
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