Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 17:35
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Fantasme passager ? Désir de me faire plaisir en m’aidant à pouvoir exprimer de l’amour ?

 

Nous avons évoqué le fait qu’Elle devienne ma douce maîtresse, que je devienne son jouet, son objet sexuel et qu’Elle puisse me guider vers son plaisir sans qu’il y ait nécessairement de jouissance de mon côté.

 

J’ignore jusqu’où nous irons dans cette voie, j’espère juste qu’Elle aimera disposer ainsi de moi, qu’Elle aimera savoir que je prends plaisir à lui obéir et qu’Elle verra dans cette relation à distance un élément d’une relation réelle où je pourrai enfin la servir, servir son corps et son plaisir, de mes doigts, de ma langue, de mes bras, de mes cheveux,… de tout mon corps et mon esprit.

 

J’ignore si à l’avenir j’en resterai au vouvoiement, j’ignore si Elle préfèrera à l’usage me tutoyer ou me vouvoyer, voir alterner les deux selon les circonstances, j’ignore beaucoup de choses et Elle certainement aussi, notre relation n’est pas écrite mais à construire. Qui sait même si de cet esclave sexuel, de cette soubrette qu’Elle veut que je devienne, ne jaillira pas enfin un jour l’Amant ? Personne ne peut prédire notre avenir, l’essentiel est que de notre rencontre naisse plaisirs et satisfaction.

 

 

Elle m’a dit aimer voir ma queue et Elle a souhaité que ces jours-ci je mette celle-ci en valeur sous mes vêtements, que les gens puissent la deviner et aient envie de la toucher.

 

Les pantalons écrasent et cachent nos parties intimes et il n’est pas si facile d’obéir convenablement à un tel ordre.

 

J’ai essayé tout d’abord de mettre ma queue en valeur en l’excitant avant de sortir de chez moi mais le résultat obtenu sembla de courte durée…

J’ai ensuite opté pour la solution de libérer mes attributs de l’oppression du slip en mettant un slip en latex ouvert sur le devant : j’ai connu l’agréable sensation du bout de mon pénis frottant sur le coton de mon pantalon, j’ai aussi il me semble davantage attiré les regards.

Maintenant je vais expérimenter le fait de sortir avec mes attributs passés au-dessus de mon slip qui les maintiendra donc par en dessous et ma queue relevée grâce à un petit bondage la reliant à une ceinture.

 

Même si je me suis pris en photo pour en avoir une idée j’ai beaucoup de mal à apprécier le rendu d’un tel système et espère qu’il donnera des résultats visibles mais sans excès.

 

 

Pourvu qu’Elle apprécie ces efforts, pourvu que ceux-ci lui donnent confiance et l’encouragent à me mener à Elle.

 

 

 

 

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : La d/s dans tous ses états
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Vendredi 9 octobre 5 09 /10 /Oct 23:40

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Mes doigts et ma langue savent encore reconnaître un clitoris, ils savent encore en jouer tout comme de la zone délicate qui l’entoure, mes doigts n’ont pas non plus oublié les sources de plaisir plus cachées à l’intérieur d’une femme, non je crois être demeuré un technicien compétent.

 

Le problème est que je ne suis plus qu’un technicien et que si j’ai encore la capacité à exciter un corps féminin en agissant avec un minimum d’intelligence je n’ai plus l’empathie nécessaire pour écouter longtemps le corps qui m’est offert. L’écoute du plaisir de l’autre me demeure possible mais au prix de grands efforts là où dans le passé je trouvais du plaisir.

 

Oui je sais encore faire jouir mais n’en retire plus de jouissance pour moi-même.

 

Donner du plaisir ne m’en procure plus.

 

Serait-ce lié à une forme de misogynie qui aurait remplacé mon ancienne adoration des femmes ?

Il est possible qu’au gré des expériences décevantes j’en sois effectivement venu à ne plus les vénérer et j’ai en effet songé à cette hypothèse comme sérieuse.

 

Donner du plaisir ne m’en procure plus ?

 

Cette affirmation n’est plus vraie, donner du plaisir à des femmes peut encore m’en procurer, du moins quelques fois, du moins dans l’univers particuliers du BDSM.

 

Ces derniers temps j’ai eu l’occasion de me livrer à des femmes qui m’ont durement traité, qui m’ont mis à leurs pieds. A leurs pieds j’ai du caresser leurs cuissardes ou escarpins, j’ai caressé aussi leurs jambes, pouvant parfois remonter vers des zones interdites que je n’ai jamais atteintes.

 

Dans ces situations là j’étais attentif à ces femmes, dans ces situations j’ai retrouvé l’empathie, le désir de donner du plaisir, j’ai retrouvé le sentiment d’aimer celle que je touchais, que je frôlais.

J’ai aimé dans ces moments là pouvoir donner sans rien attendre en retour, oui agenouillé dans des positions inconfortables j’étais bien, heureux de donner à des femmes.

 

Pourquoi alors n’en suis-je plus capable dans un cadre vanille ?

 

 

Dans un cadre vanille il est souvent très mal venu pour l’homme de ne pas avoir d’érection, l’absence de celle-ci pouvant être vécue comme un échec pour la partenaire. Dans un cadre vanille je ne vis plus que dans l’angoisse de ces échecs et en suis venu à redouter ces instants intimes que je voudrais désormais voir disparaître car étant devenus autant d’occasions d’échecs.

 

Même si ma partenaire vanille n’exige pas de ma part une pénétration, même si elle dit comprendre ma peur je crois que pendant que je lui procure du plaisir domine la pensée de ma présente incapacité à pouvoir comme avant vivre l’extase d’une pénétration sereine.

 

Dans un cadre BDSM la pénétration n’est souvent qu’accessoire et je n’ai jamais eu à la pratiquer, serait-ce donc la raison qui fait que je peux encore entrer en empathie, en adoration lors de ces jeux jugés barbares par d’aucuns ?

 

 

Non je ne rêve pas que de cravaches, fouets implacables et lacérations, je rêve aussi de moments doux, de moments de douceur innocente qui ne seraient plus des préludes implicites à de quelconques actes sexuels.

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : DOMINATRIX
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Mardi 6 octobre 2 06 /10 /Oct 16:10
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C’était avant que le TGV ne trône en cette gare que je la vis s’approcher souriante, radieuse de me retrouver comme tant d’autres fois.
Radieuse ?
Oui elle était radieuse et je ne comprenais plus rien. Je m’étais préparé à la voir la mine sombre, en pleurs même, je m’étais préparé à devoir la tenir dans mes bras pour la consoler, pas à la tenir dans mes bras comme d’ordinaire pour recueillir son plaisir. Je n’arrivais pas à croire qu’un simple réflexe de joie pavlovienne pouvait expliquer qu’elle exulte à me voir cette fois là. Cette arrivée me déconcertait, je ne savais quoi penser, comment réagir.

Nathalie était heureuse et je me réjouissais de cela mais quelque chose m’échappait, je croyais la connaître et ne la reconnaissais pas dans sa réaction, dans sa façon de gérer la nouvelle. La nouvelle je venais de l’encaisser peu avant dans un centre situé près du studio que je partageais avec France.

Ma première pensée avait été de me demander comment Nathalie le vivrait, comment je pourrais faire pour qu’elle puisse le supporter, pour qu’elle parvienne à admettre ce fait terrible. Je n’avais pensé qu’à ça : comment faire en sorte que Nathalie ne s’effondre pas. Je me trouvais alors devant elle et non seulement elle ne trahissait aucune volonté de s’effondrer mais de surcroît exhibait une bonne humeur qui m’apparaissait complètement décalée alors que je savais qu’elle aussi savait maintenant, qu’elle aussi avait été informée de la chose dans sa ville respective. Un toubib lui avait-il fait prendre une drogue euphorisante ?

Je me demandais si tout ceci était bien réel.


Aucune idée de son habillement ni du mien ce jour là. Beaucoup de choses ont été oubliées et je ne sais plus quand et comment tomba l’explication : son résultat de test qu’elle venait de recevoir lui avait appris qu’elle était séronégative au VIH.


Je n’avais à aucun moment imaginé qu’elle puisse être séronégative alors que je venais d’être dépisté positif. J’avais je crois oublié (occulté ?) cet « accident » de capote source probable de ma contamination, sans doute parce qu’un tel oubli m’arrangeait, sans doute aussi car j’estimais ne pas « mériter » cette contamination alors que j’avais pris mes précautions. J’avais connu plusieurs rapports non protégés qui ne m’avaient pas contaminés et j’aurais été plombé alors que j’avais embrassé la religion du latex !

Je n’avais envisagé de contamination que via Nathalie et j’étais persuadé avant de la savoir séronégative qu’elle seule pouvait être la cause de l’arrivée du virus dans notre couple…

Mais aussi je n’avais pas envisagé qu’un seul de nous deux puisse être contaminé car ignorant à l’époque que cette contamination était bien loin d’être systématique (et que le risque de contamination par rapport sexuel était même très faible).

Je ne pouvais alors imaginer qu’après avoir effectué toutes les galipettes risquées le virus avait pu ne pas se transmettre à l’autre.

Quand elle m’annonça être séronégative je fus alors persuadé que mon test était un faux positif et je crois en avoir été tellement persuadé que l’attente du prochain test fut sereine.


Le test suivant confirma hélas la chose : le virus venait d’arriver dans notre couple et dans ma vie.


http://www.actions-traitements.org/spip.php?article530

Par Acetos - Publié dans : VIH : une vie à positiver - Communauté : Réalités
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Samedi 3 octobre 6 03 /10 /Oct 17:58
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J’ai eu le coup de foudre alors que son visage était encore indistinct, alors que depuis le court de tennis je ne voyais que sa blondeur, sa démarche et sans doute aussi entendais-je aussi un peu de sa voix. Elle était française et ce détail joua aussi sans doute un rôle non négligeable en cette terre d’Albion pour que ces quelques minutes de rencontre me marquent aussi longtemps et profondément.
Il lui fut facile de me séduire, il me fut difficile de l’oublier.
Lors de ce séjour linguistique je n’ai pu la voir que 3 fois, je ne la revit pas davantage une fois rentré en France, et ce toujours en coup de vent : le temps de boire un verre au café de la Paix, le temps de dîner en vitesse avec les 100 francs que j’avais en poche un repas à 100 francs (angoisse de ne pouvoir l’inviter), un instant dans son intérieur de mère de famille marié à un homme qui d’après ses dires ne la satisfaisait pas entièrement. Je ne l’ai vu qu’une poignée de fois et pendant 3 années je n’ai cessé de penser à Sophie et au bonheur que j’espérais pouvoir vivre avec elle. Jamais elle ne m’a pendant tout ce temps repoussé, toujours elle m’a encouragé dans mon attente.
Je n’ai réussi à m’en détacher vraiment que bien plus tard encore, que quand plongé dans la souffrance de l’abandon par Nathalie je l’ai retrouvé via son grand-père après avoir épluché l’annuaire. C’est là qu’elle me reçu en jeune mariée et mère, c’est là qu’elle me fit comprendre son insatisfaction vis-à-vis de son mari, c’est là que je lui parla de ma séropositivé, c’est suite à cette dernière rencontre qu’elle m’expliqua ne plus vouloir me voir du fait du virus que j’hébergeais. Ce n’est donc que 7-8 ans après l’avoir rencontrée que j’ai pu enfin la laisser derrière moi comme un souvenir qu’on peut oublier, mon virus m’aura ici servi à quelque chose mais je ne l’en ai pas remercié pour autant (je n’ai jamais été tendre envers lui).


Il n’est pas tout à fait exact que je n’ai pas regardé d’autres filles durant ces 3 années où Sophie m’a obnubilé, un an et demi après je commençais à pouvoir remarquer d’autres personnes, parmi celles-ci se trouva être Catherine que je retrouvais le temps d’une insignifiante parlotte entre les cours. Je la trouvais belle mais ce n’est que des années après que nous nous sommes vraiment rapprochés. J’étais alors déjà plombé et après une très courte parenthèse où elle m’ouvrit son intimité elle me fit subir de longues années d’espérance vaine où son alcoolisme lui ayant perverti l’esprit lui faisait jouer un jeu vicieux dont je devais être la victime subissant alternativement vagues de séduction et de rejet.


Mais l’attente vaine je l’ai aussi et surtout connue dans le cadre de rencontres « virtuelles ». N’osant parler de mon virus je me suis éloigné de mes amis et ai cherché à vivre mes désirs BDSM en tentant de rencontrer via le minitel l’âme sœur en la matière. J’ai perdu comme beaucoup du temps avec des animatrices payées pour servir de leurres mais j’ai aussi et surtout perdu du temps avec des personnes qui n’étaient pas prêtes à franchir le Rubicon et à dépasser le stade de leur petit écran. Certaines étaient peut-être des hommes jouant un rôle, cherchant juste à alimenter leurs fantasmes mais d’autres étaient aussi sans doute de vraies femmes qui, sachant qu’elles pourraient aisément trouver un mâle (le déséquilibre entre les 2 sexes étant abyssal le simple fait de posséder un vagin était une assurance de trouver quelqu’un facilement), se permettaient de reculer tant qu’elles voulaient l’instant d’une rencontre, voir de vous laisser tomber sans explication si jamais pour une raison ou une autre leur envie baissait à votre égard.

De tous ces contacts minitel un seul déboucha, après une longue période d’approche, sur une relation téléphonique qui devait théoriquement aboutir à une rencontre physique. Le courant avait passé avec Caroline, je m’étais mis à nu devant elle jusqu’à lui avouer cette séropositivité qui m’avait pourtant déjà fermé des portes et que je tremblais toujours de révéler. Nous eûmes des coups de fils prometteurs, très prometteurs même,… nous ne nous rencontrâmes jamais, elle cessa brusquement de me donner signe de vie. Peur de mon virus finalement ? Peur de ne pas être à la hauteur lors d’un passage au « réel » ? Peur de je ne sais quoi ? Je ne se saurai sans doute jamais…



Il y eu également Marianne dont j’avais fait la connaissance via une petite annonce vanille, une petite annonce où j’avais annoncé ma séropositivité. Que d’échanges prometteurs, que de mots rassurants confiés à l’écouteur téléphonique : elle aussi abandonna la partie sans rien dire. Que de promesses non tenues, comment croire encore aux propos rassurants ?



Après le minitel le net.
Fut un temps je m’investis énormément sur certains sites que je souhaitais vouloir vivre et en m’y investissant j’ai fini par me faire connaître. Valérie m’y a alors reconnu comme un type sympathique, séduisant. Elle fut séduite par mes mots et entreprit alors de me faire regarder dans sa direction. Valérie fut très demandeuse d’attentions, il fallait que je l’écoute, la lise, pense à elle. Mais Valérie était mariée et il s’avéra que ce n’était encore qu’un jeu, que jamais elle ne voudrait me rencontrer, ne serait-ce que pour prendre un verre, même si je devais me rendre à l’occasion dans sa lointaine ville de province. Malgré cela, malgré le fait qu’elle refusa toujours la moindre possibilité de rencontre Valérie demeura constante dans ses crises de jalousie : je devais ne penser qu’à elle alors qu’il était clair que jamais je ne devais la rencontrer. Elle elle avait déjà son mari pour la satisfaire, pour lui apporter le minimum vital de chaleur humaine, moi je n’avais rien et il lui semblait normal que je doive me maintenir dans ce néant. Je n’existais pas en tant qu’être humain, je n’étais pour elle qu’une chose désincarnée n’ayant d’autre vocation que celle de produire des idées et de susciter des émotions sans aucun risque de passage à la rencontre physique.

J’évoque cette femme mais il y en eut bien d’autres toujours demandeuses d’attentions mais sans jamais offrir une parcelle de ce dont j’avais le plus besoin : de la vraie chaleur humaine, pas de celle qui se dégage juste des mots mais de celle comprenant une part animale, une douce complicité animale si importante, si nécessaire à notre équilibre. Pour toutes ces femmes je n’ai pas existé, je n’ai été qu’un machin désincarné qu’elles ont pu oublier sans état d’âme.



J’ai passé toute mon enfance et adolescence enfermé, à peine adulte j’ai choppé un virus diabolisé qui m’a fait retourner dans la solitude, puis, une fois capable de sortir de cet isolement viral j’ai connu l’interdiction de sortie dans les lieux de convivialité pour cause d’hyper-sensibilité à la fumée de tabac. Maintenant que je peux enfin sortir je n’ai plus envie de perdre du temps avec des femmes qui me demanderont de penser à elles sans me donner la possibilité de connaître ces instants d’intimité et de chaleur humaine que je crève d’avoir si peu connus.


Maintenant que je crois la chose enfin possible j’ai envie d’exister pleinement, je n’ai perdu que trop de temps avec des leurres.

Par Acetos - Publié dans : Divers - Communauté : Réalités
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Vendredi 2 octobre 5 02 /10 /Oct 23:07

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Samedi 26 septembre 2009

Me regardait-elle vraiment, était-elle vraiment à l’écoute de mon corps, de mes réactions ? N’était-elle pas plutôt dans le jeu, dans une théâtralité qui effaçait l’humain au profit de l’acteur alors que le jeu en question n’en était pas complètement un et que les tortures infligées étaient réelles ? Après avoir connu la douleur lors de flagellations et d’un piétinement de mes mains c’est agenouillé sur un prie-dieu, peu anxieux, voir même désireux de vivre cette épreuve, que j’ai hurlé le dépassement de mes limites, que mon corps s’est propulsé en avant pour fuir la chose avant de s’écrouler sur le sol. Rien à voir avec ce que m’avait fait connaître une semaine avant Messaline, il s’agissait cette fois d’une pénétration brutale, sans aucune considération pour le corps qui la subissait, une pénétration où il s’agissait moins de me faire subir quelque chose que de jouer jusqu’au bout une pièce, un scénario. Quand ce god a forcé l’entrée de mon trou j’ai cru celui-ci sérieusement blessé. Peut-on infliger une telle douleur de cette façon si on agit avec empathie ? Courtisane ? Suivante ? Elève ? Quel nom donner à cette actrice évoluant dans l’entourage de cette célèbre reine du BDSM adulée par nombre de « maîtresses » ? J’ai fait la connaissance ce jour là de vedettes de la « Scène », j’ai aussi découvert ce jour là un niveau de théâtralité qui m’a semblé, peut-être à tort, peu compatible avec mon désir de complicité, mon besoin d’écoute réciproque, d’échange. Il n’est pas impossible que je me livre de nouveau à ce genre de personnes, je suis toujours pathologiquement curieux, néanmoins je vais essayer de porter l’essentiel de mes efforts risque sur des femmes à priori moins dans le paraître et plus dans l’être. J’aime apprendre. J’ai aussi ce jour là connu une torture d’apparence douce mais dont la marque ne disparaît pas aisément et j’aime aussi regarder cette marque évoquant la réalité de cet instant passé, quand bien même il n’aurait pas été qu’heureux.

 

 

Par Acetos - Publié dans : BDSM et compagnie - Communauté : Réalités
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